Née au Danemark, Lise Arends Olsen a fait des études de langues à l'Ecole HEC à Copenhague, et elle a travaillé et étudié durant quelques années à Paris, à Cali (Colombie), à Oslo et à Stockholm.
Domiciliée pour de nombreuses années dans la Suisse romande, elle poursuit ses études et obtient en 1982 une licence en droit à l'Université de Genève. Suivent des années de travail : stagiaire au BIT (Bureau international du travail), assistante à la faculté de droit de l'université et puis conseillère juridique au Centre-F-Information à Genève dans le domaine du droit de la famille et de la condition féminine.
Sa passion pour l'histoire et les origines du droit l'amène à l'Université de Lausanne où en 1998, elle soutient une thèse de droit romain intitulée : La femme et l'enfant dans les unions illégitimes à Rome, L'évolution du droit jusqu'au début de l'Empire.
La thèse obtient deux prix et résulte en une série de conférences, à la Bibliothèque américaine à Genève, à l'Université de Fribourg section Antiquité, ainsi qu'au Musée romain à Nyon (VD).
C’est toujours la passion pour l’Histoire, mais désormais l’Histoire de la Suisse romande et ses liens avec le Danemark, qui l’incite à la création de deux livres. En français en 2007 avec Regards du Danemark, échanges avec la Suisse au 18ème et 19ème siècles; en danois en 2012 avec Sophie et Fanny Baggesen pour le Mieux et pour le Pire (n’existe actuellement qu’en danois). En reconnaissance de ce travail, Lise Arends Olsen a reçu le prix Jens Baggesen 2014.
En 2017 sera encore publié Lettres pour la Dame à Sølyst. Ce livre, qui existe uniquement en danois, est basé sur les lettres de la comtesse Charlotte Schimmelmann (1757-1816) à ses amis avec des déscriptions captivantes de la vie et de la cour à Copenhague fin 18ème, début 19ème siècle.
Adresse email : arendsolsen@gmail.com